Vous connaissez l’histoire de la meuf qui s’est tapée 6000 km de vélo pour se rendre compte qu’elle voulait bosser avec des boites à impacts positifs ?

👇 Storytime 👇

Toute ma vie, j’ai fait de la vente.

Et j’ai toujours été tiraillée par l’incohérence entre la vente et mes convictions écologiques et sociales.

Comment travailler toute la journée pour une boîte qui s’en tartine la biscotte de l’écologie, et le soir cuisiner son tofu bio commerce équitable sans ressentir une légère dissonance ?

Je n’ai jamais cru au modèle de ces grandes entreprises dirigées par l’amour du profit. Mais je ne connaissais pas d’autres alternatives.

Alors, après plusieurs années de questionnement et quelques crises d’angoisse, je suis partie.

Et dans les règles de l’art per favor !

J’ai quitté, mon job, mes amies, ma famille, ma copine et j’ai mis les voiles.

Enfin, le casque plutôt puisque je suis partie à vélo.

Pendant 6 mois.

Et je te demande de me croire : quand tu traverses la Turquie dans la longueur à vélo toute seule, tu as le temps de réfléchir à ta vie !

Beaucoup de temps.

Vraiment.

Après quelques kilomètres et pas mal de tour de pédale, ça a fait “chinggggggg” ! (Non, ce n’est pas le bruit que je fais quand je me prends un poteau.)

J’ai enfin réalisé que mon problème, il ne venait pas de la vente.

Il venait des entreprises pour qui je vendais et des personnes à qui je vendais.

*Oui, je sais, certaines personnes se rendent compte de ça à 12 ans et demi ! Mais je suis assez forte pour ne pas voir ce qui cache sous mon nez quand ça concerne ma vie personnelle.

Fini de vendre des capuches en fourrure et des trucs en plastique. Des jeans notés taille 40 alors que c’est du 36. Des t-shirts à 5 € qui ont une durée de vie plus courte qu’un papillon.

Je peux mettre mon talent et mes connaissances au service de personnes en qui je crois !

Et je vais le faire.

Quelques tours de pédales plus loin… “chinggggg” ! (Cette fois, c’est bien moi qui me prends un poteau ! )

Mais le choc m’a remis les idées en place.

J’ai toujours aimé écrire, raconter, imaginer, découvrir et vendre, chercher, convaincre, comprendre… Et si vous mettez tous ces mots dans un mixeur (ne tentez pas l’expérience chez vous !), ce qui ressort, c’est le copywriting.

Ça y est.

Je sais ce que je veux : écrire pour vendre.

Et je sais pour qui je veux le faire : pour ceux qui s’engagent pour l’avenir.Si vous vous reconnaissez dans ce message, découvrez les services que je propose au sein de l’équipe Com’SEEP ICI